Démission pour dépression droit au chômage

Alerte : La dépression au boulot, et si tu te barrais ?

Hey, aujourd’hui on va parler d’un sujet pas très fun mais important : la démission pour dépression. Tu sais, cette situation où ton taf te rend tellement dingue que même ton cerveau te dit « stop ». Beaucoup de mes lecteurs m’écrivent à ce sujet, alors autant faire un article complet. Si tu t’abonnes pas à la newsletter du blog après ça, c’est que tu kiffes faire des burnouts.

La base : comment faire reconnaître ta dépression

Alors oui, tu peux démissionner pour dépression et avoir droit au chômage. Mais attention, c’est pas aussi simple que de claquer la porte en hurlant « j’en peux plus ». Il te faut des preuves en béton :

  • Un certificat médical de ton médecin qui dit clairement que ton taf te rend malade (et pas juste que ton manager est relou)
  • Un rendez-vous avec le médecin du travail qui va confirmer que ton poste n’est pas compatible avec ta santé mentale
  • Des preuves que tu te fais suivre régulièrement, genre des ordonnances d’antidépresseurs ou des factures de psy

💡 Astuce : N’hésite pas à conserver tous les documents médicaux, ils seront précieux pour constituer ton dossier.

La stratégie : démissionner… ou pas ?

Entre nous, la démission c’est un peu comme investir dans le Bitcoin en 2024 : risqué et pas forcément la meilleure option. T’as d’autres cartes à jouer :

La rupture conventionnelle, ta meilleure pote

Franchement, si tu peux négocier une rupture conventionnelle, fonce. C’est comme une démission mais en version premium :

  • Tu touches le chômage direct, sans passer par la case galère
  • Tu peux négocier une belle indemnité (surtout si ton boss a peur que tu parles des dossiers louches)
  • C’est clean juridiquement, pas de prise de tête

L’arrêt maladie, ton plan B

Si t’es vraiment au bout du rouleau, l’arrêt maladie peut être une bonne solution temporaire. C’est comme des vacances, mais prescrites par ton médecin :

  • Tu prends du recul tout en étant payé (enfin, indemnisé quoi)
  • Ça peut déboucher sur une inaptitude et donc un licenciement qui t’ouvre les droits au chômage

Pro tip : Pense à discuter avec ton employeur pour explorer toutes les options avant de prendre une décision radicale.

Pôle Emploi : le boss final

Si tu pars quand même en démission, prépare-toi à affronter le donjon final : Pôle Emploi. Et crois-moi, c’est plus dur qu’un niveau de Dark Souls :

  • Il te faut un dossier béton avec tous tes docs médicaux
  • Tu passes devant une commission qui va juger si ta dépression est « légitime » (comme s’il y avait des dépressions pour le fun)
  • Tu dois attendre 4 mois avant qu’ils étudient ton cas
  • Et pendant ce temps, faut chercher du taf… même si t’es pas forcément en état

💡 Astuce : Profite de ce temps pour te former ou réfléchir à une reconversion professionnelle.

Option Avantages Inconvénients
Démission pour dépression
  • Prendre soin de sa santé mentale
  • Démarches administratives complexes
  • Délai pour toucher le chômage
Rupture conventionnelle
  • Accès rapide aux indemnités chômage
  • Possibilité de négocier une indemnité de départ
  • Nécessite l’accord de l’employeur
Arrêt maladie
  • Temps pour se ressourcer
  • Indemnisation par la Sécurité sociale
  • Revenus diminués
  • Peut retarder la résolution du problème au travail

Bref, si tu veux mon avis, la démission pour dépression c’est vraiment le dernier recours. Un peu comme manger des pâtes au ketchup : on le fait que quand on n’a vraiment pas d’autre choix. Privilégie la rupture conventionnelle, c’est plus safe et moins stressant. Et surtout, prends soin de toi, c’est le plus important.

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